tag:blogger.com,1999:blog-33923162041166675972024-03-13T22:08:05.978+01:00Réforme du droit des contrats et des obligations : tout savoir.La réforme du droit des contrats et des obligations par l'ordonnance n° 2016-131 du 10 février 2016. Par Christophe Buffet Avocat Spécialiste en Droit Immobilier et Droit Public 2 bd Bessonneau 49100 Angers Téléphone : 02 41 81 16 16 Email : christophe.buffet@acr-avocats.comUnknownnoreply@blogger.comBlogger157125tag:blogger.com,1999:blog-3392316204116667597.post-61668207583413477522020-08-22T14:14:00.000+02:002020-08-22T14:14:08.466+02:00Droit des obligations 2021<div style="text-align: center;"><a href="https://www.amazon.fr/Droit-obligations-2021-13e-ed/dp/2247195962/ref=as_li_ss_il?dchild=1&keywords=droit+des+obligations+dalloz&qid=1598098165&s=books&sr=1-8&linkCode=li3&tag=b086-21&linkId=5eff050d8ac79af1f50a1af9bb519a36&language=fr_FR" target="_blank"><img border="0" src="//ws-eu.amazon-adsystem.com/widgets/q?_encoding=UTF8&ASIN=2247195962&Format=_SL250_&ID=AsinImage&MarketPlace=FR&ServiceVersion=20070822&WS=1&tag=b086-21&language=fr_FR" /></a></div><img alt="" border="0" height="1" hidden="" src="https://ir-fr.amazon-adsystem.com/e/ir?t=b086-21&language=fr_FR&l=li3&o=8&a=2247195962" style="border: none; display: none !important; margin: 0px;" width="1" />Unknownnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3392316204116667597.post-23039781019740811992019-05-08T13:04:00.000+02:002019-05-08T13:04:02.205+02:00De l’usage des nouveaux textes dans le contentieux fondé sur l’ancien droit des obligations<div style="text-align: justify;">
Un article du blog Dalloz consacré à la Réforme du droit des obligations.</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Extrait : </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
"L’application dans le temps du nouveau droit des obligations a suscité une abondante littérature, dès la publication de l’ordonnance du 10 février 2016. Il est vrai que, même s’il reprenait des solutions classiques en droit français, son article 9 recelait diverses questions délicates (v. sur ce point, G. Chantepie, M. Latina, Le nouveau droit des obligations. Commentaire théorique et pratique dans l’ordre du Code civil, 2e éd., Dalloz, 2018, n° 45 s.). Sans surprise, la difficulté principale réside actuellement dans l’applicabilité des textes issus de l’ordonnance dans des contentieux relatifs à des contrats conclus avant son entrée en vigueur, soumis en principe aux anciens textes. Or par étourderie, méconnaissance ou choix raisonné, certains plaideurs invoquent les textes issus de l’ordonnance dans ce type de contentieux, s’exposant ainsi à un rejet de leur demande.</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Dans certaines hypothèses, le texte visé opérait un changement substantiel de l’état du droit. On ne sera pas étonné que certains plaideurs tentent par exemple d’obtenir, sur le fondement du droit commun, la suppression de clauses dont ils estiment qu’elles créeraient un déséquilibre significatif. Mais faute d’être applicable à des contrats conclus avant le 1er octobre 2016, l’article 1171 du code civil ne peut servir de fondement textuel à une telle action. Ainsi, il a été jugé que « le nouvel article 1171 du Code Civil, relatif aux clauses abusives dans les contrats d’adhésion, n’est pas applicable aux contrats conclus avant le 1er octobre 2016, date d’entrée en vigueur de l’ordonnance no 2016-131 du 10 février 2016. Il n’est dès lors pas applicable au présent litige afférent à un contrat du 21 décembre 2012. » (CA Metz, 1er févr. 2018, n° 16/038711). " </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
A lire ici : <a href="http://urlz.fr/9Enc" target="_blank">De l’usage des nouveaux textes dans le contentieux fondé sur l’ancien droit des obligations.</a></div>
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://3.bp.blogspot.com/-tWDf-Ho-TRo/XNK3WWWEqAI/AAAAAAAAJNw/VPaCAv8SXh0sUBX85UfHnChpPBm9G1gNACEwYBhgL/s1600/t%25C3%25A9l%25C3%25A9chargement%2B%25281%2529.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="277" data-original-width="182" src="https://3.bp.blogspot.com/-tWDf-Ho-TRo/XNK3WWWEqAI/AAAAAAAAJNw/VPaCAv8SXh0sUBX85UfHnChpPBm9G1gNACEwYBhgL/s1600/t%25C3%25A9l%25C3%25A9chargement%2B%25281%2529.jpg" /></a></div>
<br />Unknownnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3392316204116667597.post-25318879907524419992018-09-08T09:13:00.001+02:002018-09-08T09:27:02.857+02:00Révision pour imprévision : les contrats concernés<div style="text-align: justify;">
Un article de LEXplicite</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Extrait : </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
"L’introduction de la révision pour imprévision a incontestablement été une mesure-phare de la réforme du droit des contrats opérée par l’ordonnance du 10 février 2016. Le nouvel art. 1195 du Code civil permet de solliciter du juge la résiliation ou la modification du contrat dont l’exécution est devenue « excessivement onéreuse » à cause d’un « changement de circonstances imprévisible ».</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
A ainsi été introduite en droit français une atteinte au principe de l’intangibilité du contrat tel que les parties l’ont initialement voulu et conclu. En attendant de connaître les premières applications judiciaires de cette institution et de savoir si nos tribunaux seront audacieux ou non dans son maniement, il est intéressant de s’interroger sur son champ d’application. " </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<a href="http://3.bp.blogspot.com/-ZxG3wgQi-8Y/W5N3SQz4nFI/AAAAAAAAISI/BTDc_beYXzYVkmF4yCo_pp7G5ZkA4Ys8gCK4BGAYYCw/s1600/t%25C3%25A9l%25C3%25A9chargement%2B%25281%2529.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"> A lire ici : </a><a href="http://www.lexplicite.fr/revision-pour-imprevision-les-contrats-concernes/" target="_blank">Révision pour imprévision : les contrats concernés</a>.</div>
<div style="text-align: justify;">
<br />
<br />
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
</div>
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
</div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://www.amazon.fr/Code-civil-annot%C3%A9-%C3%89dition-limit%C3%A9e/dp/2247177395/ref=as_li_ss_il?s=aps&ie=UTF8&qid=1536391160&sr=1-1-catcorr&keywords=code+civil+dalloz+2019&linkCode=li1&tag=b086-21&linkId=d5eeee4c88c24568943816b54ac7912d&language=fr_FR" target="_blank"><img border="0" src="//ws-eu.amazon-adsystem.com/widgets/q?_encoding=UTF8&ASIN=2247177395&Format=_SL110_&ID=AsinImage&MarketPlace=FR&ServiceVersion=20070822&WS=1&tag=b086-21&language=fr_FR" /></a><img alt="" border="0" height="1" src="https://ir-fr.amazon-adsystem.com/e/ir?t=b086-21&language=fr_FR&l=li1&o=8&a=2247177395" style="border: none !important; margin: 0px !important;" width="1" /></div>
Unknownnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3392316204116667597.post-44098725093411042242018-07-28T09:46:00.000+02:002018-07-28T09:46:23.176+02:00Réforme du droit des contrats : les apports de la loi de ratificationUn article des Affiches Parisiennes.<br />
<br />
Extrait :<br />
<br />
" Des modifications s'imposaient parce que certains textes avaient été pris sans mesurer leur impact en droit des sociétés, notamment sur la capacité et la représentation », explique Denis Mazeaud.<br />
<br />
L'ordonnance a aussi instauré « beaucoup d'efficacité économique » et « un peu de justice contractuelle », essayant tant bien que mal d'équilibrer ces deux impératifs. Mais si ce texte était déjà d'inspiration libérale, « la loi de ratification l'est plus encore ». « Les rares textes qui instauraient un peu de justice contractuelle ont été rabotés à mon sens », estime le professeur.<br />
<br />
L'ordonnance, comme la loi de ratification, contiennent en dispositions liminaires trois principes généraux que sont la liberté, la sécurité et, de manière innovante, la bonne foi. « Le devoir de bonne foi a beau avoir monté dans la hiérarchie, ce n'est pas le plus impératif et une modification du texte en est le révélateur », poursuit Denis Mazeaud, expliquant que l'ordonnance souffrait d'une malfaçon s'agissant du silence du cocontractant sur la valeur de la contreprestation. "<br />
<br />
<br />
A lire ici : <a href="https://www.affiches-parisiennes.com/reforme-du-droit-des-contrats-les-apports-de-la-loi-de-ratification-8158.html" target="_blank">Réforme du droit des contrats : les apports de la loi de ratification</a>Unknownnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3392316204116667597.post-25355105811344640002018-06-17T10:38:00.001+02:002018-06-17T10:40:49.408+02:00Promulgation de la loi de ratification de la réforme du droit des contratsUn article de : Staub et associés<br />
<br />
<br />
<br />
Extrait : "La loi de ratification apporte une clarification heureuse quant à l’application dans le temps de l’ordonnance du 10 février 2016. Ainsi, l’ordonnance précisait que sauf exception, ses dispositions entraient en vigueur le 1er octobre 2016 et que les contrats conclus antérieurement à cette date restaient soumis à la loi ancienne. Cependant, restait en suspens la question de savoir si les dispositions d’ordre public issues de l’ordonnance s’appliquaient aux contrats conclus antérieurement au 1er octobre 2016.<br />
<br />
La loi règle la question en précisant que les contrats conclus avant le 1er octobre 2016 demeurent en principe entièrement soumis à la loi ancienne, « y compris pour leurs effets légaux et pour les dispositions d’ordre public ». Il n’est pas exclu cependant que dans certains cas, le juge interprète le droit ancien à la lumière du droit nouveau.<br />
<br />
S’agissant des modifications apportées par la loi dans le Code civil, l’article 16 I dispose que « la présente loi entre en vigueur le 1er octobre 2018 ». Cependant il convient de distinguer les modifications qui n’ont qu’un caractère interprétatif, de celles qui seront applicables aux contrats conclus postérieurement au 1er octobre 2016.<br />
<br />
Par conséquent, il faudra distinguer selon que le contrat a été conclu avant le 1er octobre 2016, auquel cas il sera soumis à la loi ancienne. Lorsque le contrat est postérieur au 1er octobre 2016, il faudra déterminer si la clause ou la disposition litigieuse a été modifiée par la loi de ratification, et si tel est le cas, si elle a fait l’objet d’une seule « interprétation ». Seuls les contrats conclus postérieurement au 1er octobre 2018 se verront appliquer les nouvelles dispositions apportées par la loi de ratification et modifiant de manière substantielle le texte initial. "<br />
<br />
A lire ici : <a href="http://www.staub-associes.com/promulgation-de-loi-de-ratification-de-reforme-droit-contrats/" target="_blank">Promulgation de la loi de ratification de la réforme du droit des contrats</a>.Unknownnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3392316204116667597.post-59019488148402402712018-06-09T08:21:00.000+02:002018-06-09T08:21:04.623+02:00Entrée en vigueur de la réforme du droit des contrats<div style="text-align: justify;">
Un article de Caroline Audenaert</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Extrait : " La loi n°2018-287 du 11 avril 2018 de ratification de l'ordonnance du 10 février 2016 portant réforme du droit des contrats a finalement été publiée au Journal officiel le 21 avril 2018, marquant la fin d'un long processus amorcé en 2015. Toutefois, le législateur ne s'est pas contenté de ratifier purement et simplement l'Ordonnance. Si dans l'ensemble, l'esprit du texte initial demeure, une vingtaine d'articles du code civil ont été modifiés. En votre qualité d'employeur, les nouveautés résultant de la réforme du droit des contrats sont susceptibles d'influencer vos relations avec vos partenaires, associés ou mêmes clients. Voici ce qu'il faut retenir suite à l'entrée en vigueur de la loi de ratification." </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
A lire ici : <a href="https://www.juritravail.com/Actualite/contrats-commerciaux-clauses-contractuelles/Id/285344" target="_blank">Entrée en vigueur de la réforme du droit des contrats</a></div>
Unknownnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3392316204116667597.post-37427661303829737732018-06-09T07:40:00.001+02:002018-06-09T07:40:29.396+02:00La correction du sujet CRFPA 2017 en droit des obligations par le Professeur Louis Thibierge (vidéo)<iframe allowfullscreen="true" allowtransparency="true" frameborder="0" height="315" scrolling="no" src="https://www.facebook.com/plugins/video.php?href=https%3A%2F%2Fwww.facebook.com%2Fsupbarreau%2Fvideos%2F2079844622301067%2F&show_text=0&width=560" style="border: none; overflow: hidden;" width="560"></iframe>Unknownnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3392316204116667597.post-56254136001534814422018-04-30T08:31:00.004+02:002018-04-30T08:31:32.990+02:00L’ordonnance portant réforme du droit des contrats, du régime général et de la preuve des obligations enfin ratifiée !Un article à lire ici : <br />
<br />
<a href="https://www.dalloz-actualite.fr/flash/l-ordonnance-portant-reforme-du-droit-des-contrats-du-regime-general-et-de-preuve-des-obligati#.Wua35YhuYuV" target="_blank">L’ordonnance portant réforme du droit des contrats, du régime général et de la preuve des obligations enfin ratifiée !</a>Unknownnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3392316204116667597.post-79441303224606225872018-04-25T21:26:00.003+02:002018-04-25T21:26:35.970+02:00Ratification de la réforme du droit des contrats : clarifications et améliorationsRatification de la réforme du droit des contrats : clarifications et améliorations. Philippe Dupichot, Professeur à l’Ecole de droit de la Sorbonne commente la ratification de l'ordonnance réformant le droit des contrats.<br />
<br />
A lire ici : <a href="https://twitter.com/CBuffetAvocat/status/989113247965032449" target="_blank">Ratification de la réforme du droit des contrats : clarifications et améliorations</a>.Unknownnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3392316204116667597.post-3980102715749953312018-03-31T10:42:00.003+02:002018-03-31T10:42:53.541+02:00Promesse de porte-fort : rappel de la sanction en cas d’inexécution<div style="text-align: justify;">
Un article de Dalloz-étudiant.</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Extrait : </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
" Depuis l’entrée en vigueur de l’ordonnance du 10 février 2016, le nouvel article 1204 du Code civil prévoit expressément en son alinéa 2 qu’ « en cas d’inexécution du fait promis, le promettant peut être condamné à des dommages-intérêts ». Bien que cette nouvelle formulation ne précise pas que la sanction est exclusive de toute autre, elle se déduit, selon la doctrine, de la nature même de la promesse (V. commentaire ss. C. civ., art. 1204. Dalloz)." </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
A lire ici : <a href="https://actu.dalloz-etudiant.fr/a-la-une/article/promesse-de-porte-fort-rappel-de-la-sanction-en-cas-dinexecution/h/4207699a3a60abc107007a26a6902092.html?utm_source=NLE_300318&utm_medium=email" target="_blank">Promesse de porte-fort : rappel de la sanction en cas d’inexécution</a></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<img alt="Retour au portail DALLOZ Etudiant" src="https://actu.dalloz-etudiant.fr/fileadmin/www.dalloz-etudiant.fr/templates/img/logo_etudiant.png" /></div>
Unknownnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3392316204116667597.post-47500438867829568742018-03-31T10:24:00.001+02:002018-03-31T10:24:33.895+02:00L’ordre public dans la réforme du droit des contrats<div style="text-align: justify;">
Un article du Professeur Mercadal.</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Extrait : </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
"Le rapport au Président de la République sur l’ordonnance du 10 février 2016, portant réforme du droit des contrats, indique que « le caractère supplétif [des dispositions de l’ordonnance] s'infère directement de l’article 6 du Code civil et des nouveaux articles 1102 et 1103, sauf mention contraire explicite de la nature impérative du texte concerné ». On pourrait en déduire que le caractère d’ordre public ne peut désormais résulter que d’une mention explicite du Code civil. Mais cette position est en fait excessive car le rapport ne reflète que l’opinion de ses auteurs qui, comme toute opinion, ne lie pas le juge. " </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
A lire ici : </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<a href="https://www.efl.fr/droit/affaires/details.html?ref=UI-c328e6cd-fed8-4761-9722-b8e1f7182aa3" target="_blank">L’ordre public dans la réforme du droit des contrats</a></div>
Unknownnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3392316204116667597.post-39366014459753595772017-10-07T20:47:00.000+02:002017-10-07T20:47:00.391+02:00Les quatre arrêts de la Cour de Cassation qui évoquent "l'évolution récente du droit des obligations"Ces arrêts sont ici : <a href="https://www.legifrance.gouv.fr/rechJuriJudi.do?reprise=true&page=1" target="_blank">Les quatre arrêts de la Cour de Cassation qui évoquent "l'évolution récente du droit des obligations</a>.<br />
<br />
<br />Unknownnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3392316204116667597.post-13728321052542841612017-09-30T07:55:00.001+02:002017-09-30T07:55:31.958+02:00Clause d’exclusion de garantie des vices cachés stipulées dans un contrat entre deux professionnels et sous-acquéreur profaneUn article à lire sur Dalloz Actu Etudiant :<br />
<br />
Extrait :<br />
<br />
"En droit positif, les clauses relatives à la garantie des vices cachés, stipulées au profit du vendeur, sont nulles.<br />
Elles ne sont valables que si l’acheteur est un professionnel de la même spécialité que le vendeur.<br />
A l’égard d’un profane, a fortiori d’un consommateur, elles sont abusives et doivent donc être réputées non écrites.<br />
L’option offerte à la Cour de cassation consistait donc soit à privilégier le contrat conclu par le défendeur à l’action, à savoir le fabricant, pour préserver ses prévisions légitimes, soit le statut du demandeur à l’action, à savoir le sous-acquéreur. Dans le premier cas, la clause était valable et opposable au sous-acquéreur, dans le second, elle était abusive et réputée non écrite."<br />
<br />
Lien : <a href="http://actu.dalloz-etudiant.fr/a-vos-copies/article/clause-dexclusion-de-garantie-des-vices-caches-stipulees-dans-un-contrat-entre-deux-professionn/h/bfcec8761bf5a98b22d243ecd6af8c88.html" target="_blank">Clause d’exclusion de garantie des vices cachés stipulées dans un contrat entre deux professionnels et sous-acquéreur profane</a><br />
<br />
<br />
<a href="https://www.amazon.fr/Droit-obligations-Cours-R%C3%A9my-Cabrillac-ebook/dp/B01JA5Q18U/ref=as_li_ss_il?s=digital-text&ie=UTF8&qid=1506750891&sr=1-1-spell&keywords=droit+des+obligatiuons&linkCode=li3&tag=b086-21&linkId=7f07d72d9400dc41ebcbc41953e8e6fc" target="_blank"><img border="0" src="//ws-eu.amazon-adsystem.com/widgets/q?_encoding=UTF8&ASIN=B01JA5Q18U&Format=_SL250_&ID=AsinImage&MarketPlace=FR&ServiceVersion=20070822&WS=1&tag=b086-21" /></a><img alt="" border="0" height="1" src="https://ir-fr.amazon-adsystem.com/e/ir?t=b086-21&l=li3&o=8&a=B01JA5Q18U" style="border: none !important; margin: 0px !important;" width="1" />Unknownnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3392316204116667597.post-49593097454839960152017-09-24T16:03:00.002+02:002017-09-24T16:03:36.987+02:00LES POINTS CLÉS DE LA RÉFORME DU DROIT DES CONTRATS<div style="text-align: justify;">
Un article à lire ici : <a href="http://www.grall-legal.fr/fr/flash-concurrence-n5-points-cles-reforme-droit-des-contrats/#.Wce6vchJYuV" target="_blank">LES POINTS CLÉS DE LA RÉFORME DU DROIT DES CONTRATS</a>.</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Extrait :</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
L’ordonnance n° 2016-131 du 10 février 2016 portant réforme du droit des contrats et du régime général de la preuve des obligations a été publiée au Journal Officiel le 11 février 2016.</div>
<div style="text-align: justify;">
Les dispositions de cette ordonnance rentreront normalement en vigueur le 1er octobre 2016.</div>
<div style="text-align: justify;">
Il est à noter que si le droit des contrats est sensiblement remodelé, la réforme de la responsabilité civile contractuelle et précontractuelle fera l’objet d’un projet de loi ultérieur qui sera débattu devant le Parlement.</div>
<div style="text-align: justify;">
L’objet du présent « Flash Concurrence » est de présenter de manière synthétique, tel un pense-bête, les principales modifications – sans chercher à être exhaustifs – apportées à notre droit civil des contrats qui se retrouve désormais aux articles 1101 à 1231-7 du sous-titre I dénommé « LE CONTRAT » du Titre III du Livre III du Code civil.</div>
<div style="text-align: justify;">
Ce « Flash Concurrence » sera suivi de nombreux autres qui seront respectivement consacrés au déséquilibre significatif, à la détermination du prix, aux clauses de « hardship », à l’information précontractuelle, à la cessation de la relation contractuelle, etc.</div>
Unknownnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3392316204116667597.post-59128405644303200972017-09-23T09:00:00.000+02:002017-09-23T09:00:59.952+02:00La réforme du droit des contrats, source d’inspiration des revirements de la jurisprudence ancienneUn article à lire ici : <a href="https://www.clementfrancois.fr/reforme-droit-contrats-inspiration-revirements-jurisprudence-ancienne/?utm_source=feedburner&utm_medium=feed&utm_campaign=Feed%3A+clementfrancois+%28Blog+de+Cl%C3%A9ment+Fran%C3%A7ois%29" target="_blank">La réforme du droit des contrats, source d’inspiration des revirements de la jurisprudence ancienne</a><br />
<br />
Extrait :<br />
<br />
<div style="background-color: white; border: 0px; margin-bottom: 1.625em; outline: 0px; padding: 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;">
<span style="color: #373737; font-family: "helvetica neue" , "helvetica" , "arial" , sans-serif;"><span style="font-size: 15px;">"Ces deux arrêts rendus le 21 septembre 2017 par la chambre sociale seront, à n’en pas douter, abondamment commentés dans les jours et mois qui viennent. Daniel Mainguy a déjà formulé à leur propos quelques observations sous l’angle de l’entrée en vigueur immédiate de l’ordonnance de réforme du droit des contrats du 10 février 2016.</span></span></div>
<div style="background-color: white; border: 0px; margin-bottom: 1.625em; outline: 0px; padding: 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;">
<span style="color: #373737; font-family: "helvetica neue" , "helvetica" , "arial" , sans-serif; font-size: 15px;">Les faits étaient fortement similaires dans les deux espèces. Un club de rugby avait formulé une « offre de contrat de travail » à un joueur international puis, quelques mois plus tard, avait indiqué par mail à l’agent du joueur « ne pas pouvoir donner suite aux contacts noués avec ce dernier ». Quelques jours après l’envoi de ce mail, la « promesse d’embauche » signée avait été retournée au club. Le joueur a saisi la juridiction prud’homale afin d’obtenir le paiement de sommes au titre de la rupture du contrat de travail. Il soutenait en effet que la « promesse d’embauche » valait contrat de travail. Plusieurs questions se posaient donc dans ces deux espèces. Premièrement, « l’offre de contrat de travail » doit-elle être qualifiée juridiquement d’offre, ou de promesse unilatérale de contrat ? Deuxièmement, quels sont les effets juridiques de cette offre ou de cette promesse unilatérale de contrat, notamment en ce qui concerne le régime de sa rétractation ?"</span></div>
<br />
<h1 class="entry-title" style="background-color: white; border: 0px; clear: both; color: #1982d1; font-family: "Helvetica Neue", Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 26px; line-height: 1.5em; margin: 0px; outline: 0px; padding: 15px 76px 0px 0px; vertical-align: baseline;">
</h1>
Unknownnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3392316204116667597.post-65292806813047947552017-09-16T07:38:00.000+02:002017-09-16T07:41:36.527+02:00Les grands articles du code civil et la réforme du droit des contratsCette nouvelle édition de ce petit livre dense fait une grande part aux articles du code civil issus de la réforme du droit des contrats.<br />
<br />
Présentation de l'éditeur :<br />
<br />
"Le code civil, l'ouvrage le plus célèbre de France et le plus méconnu des Français ?<br />
<br />
Ce livre qui est le dernier acte fondateur de Bonaparte avant l'autocratie de Napoléon, ce livre qui a unifié la nation en remplaçant la mosaïque des coutumes provinciales antérieures, ce livre que Jean Carbonnier a baptisé de « constitution civile des Français », ce livre dont Stendhal disait lire chaque matin quelques articles, et qui a tant rayonné à l'étranger qu'il y est parfois plus connu qu'en France, ce livre méritait bien une reprise de contact pour la sélection - nécessairement un peu subjective - de quelques-uns de ses articles essentiels."<br />
<br />
<div style="text-align: center;">
<br /></div>
<div style="text-align: center;">
Pour l'acheter, cliquez sur l'image.<img alt="" border="0" height="1" src="https://ir-fr.amazon-adsystem.com/e/ir?t=b086-21&l=li3&o=8&a=2247161472" style="border: none !important; margin: 0px !important;" width="1" /></div>
<br />
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://www.amazon.fr/grands-articles-code-civil-%C3%A9d/dp/2247161472/ref=as_li_ss_il?s=books&ie=UTF8&qid=1505539167&sr=1-1&keywords=Les+grands+articles+du+Code+civil&linkCode=li3&tag=b086-21&linkId=775abdb220268710a821bfbef820ddbf" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em; text-align: center;" target="_blank"><img border="0" src="//ws-eu.amazon-adsystem.com/widgets/q?_encoding=UTF8&ASIN=2247161472&Format=_SL250_&ID=AsinImage&MarketPlace=FR&ServiceVersion=20070822&WS=1&tag=b086-21" /></a></div>
<br />
<br />Unknownnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3392316204116667597.post-34045266485325907922017-08-22T13:39:00.001+02:002017-08-22T13:39:56.807+02:00Des vidéos sur la réforme du droit des contrats<p dir="ltr"> https://www.canal-u.tv/producteurs/universite_paris_1_pantheon_sorbonne/la_reforme_du_droit_des_contrats</p>
Unknownnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3392316204116667597.post-89757151539077280392017-08-22T12:23:00.001+02:002017-08-22T13:42:48.461+02:00L'imprévision et la réforme du droit des contrats : une vidéo.A voir ici :<br />
<br />
<a href="https://www.canal-u.tv/video/universite_paris_1_pantheon_sorbonne/l_imprevision.23806" target="_blank">https://www.canal-u.tv/video/universite_paris_1_pantheon_sorbonne/l_imprevision.23806</a>Unknownnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3392316204116667597.post-47613433996222570862017-03-11T08:08:00.001+01:002017-03-11T08:08:09.045+01:00Réforme du droit des contrats : 4 impacts majeurs en immobilier<h2 style="text-align: justify;">
Réforme du droit des contrats : 4 impacts majeurs en immobilier</h2>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Un article à lire ici : <a href="http://www.lavieimmo.com/avis-experts/reforme-du-droit-des-contrats-4-impacts-majeurs-en-immobilier-38652.html" target="_blank">Réforme du droit des contrats : 4 impacts majeurs en immobilier</a></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Extrait :</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div>
<div class="chapo" style="background-color: white; border: 0px; box-sizing: content-box; color: #464646; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12px; font-weight: bold; line-height: 1.4em; margin-bottom: 5px; outline: 0px; padding: 0px; text-align: justify;">
"La réforme du droit des contrats mise en place par l’ordonnance n° 2016-131 du 10 février 2016 et publiée au Journal Officiel le 11 février 2016 est entrée en vigueur le 1er octobre 2016 et s’applique aux contrats conclus après cette date, à l’exception cependant de certains aspects (les actions dites « interrogatoires ») applicables aux contrats en cours.</div>
<div style="background-color: white; border: 0px; box-sizing: content-box; color: #464646; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 1.4em; margin-bottom: 5px; outline: 0px; padding: 0px; text-align: justify;">
Bien que cette ordonnance comporte peu de dispositions spécifiques à la matière du « droit immobilier », en pratique et en revanche, la plupart de ses mesures sont susceptibles de l’impacter.</div>
<div style="background-color: white; border: 0px; box-sizing: content-box; color: #464646; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 1.4em; margin-bottom: 5px; outline: 0px; padding: 0px; text-align: justify;">
Vu l’ampleur de la réforme et sans aucunement vouloir faire un inventaire exhaustif, on peut notamment relever les impacts suivant (choisis tout à fait arbitrairement) :</div>
<div style="background-color: white; border: 0px; box-sizing: content-box; color: #464646; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 1.4em; margin-bottom: 5px; outline: 0px; padding: 0px; text-align: justify;">
1. Rétractation d’une promesse unilatérale</div>
<div style="background-color: white; border: 0px; box-sizing: content-box; color: #464646; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 1.4em; margin-bottom: 5px; outline: 0px; padding: 0px; text-align: justify;">
Il n’était pas possible de parler de cette réforme sans mentionner ce changement législatif : l’article 1124 du code civil consacre en effet l’inefficacité d’une rétractation du promettant dans le cadre d’une promesse unilatérale, en ce sens que la révocation de la promesse pendant le temps laissé au bénéficiaire pour exercer son option n'empêche pas la formation du contrat promis.</div>
<div style="background-color: white; border: 0px; box-sizing: content-box; color: #464646; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 1.4em; margin-bottom: 5px; outline: 0px; padding: 0px; text-align: justify;">
La nullité du contrat conclu en violation de la promesse unilatérale est limitée en revanche au cas où le tiers en connaissait l'existence.</div>
<div style="background-color: white; border: 0px; box-sizing: content-box; color: #464646; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 1.4em; margin-bottom: 5px; outline: 0px; padding: 0px; text-align: justify;">
Il n’est toutefois pas interdit au promettant, qui entend conserver une faculté de rétractation avant que le bénéficiaire n’ait levé l’option, de prévoir une clause expresse à cet effet dans la promesse.</div>
<div style="background-color: white; border: 0px; box-sizing: content-box; color: #464646; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 1.4em; margin-bottom: 5px; outline: 0px; padding: 0px; text-align: justify;">
A noter que les dispositions de l’article 1124 du code civil ne doivent pas être cantonnées aux promesses unilatérales de vente. Elles s’appliquent également à la promesse unilatérale de bail."</div>
</div>
Unknownnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3392316204116667597.post-23516104354895328172017-03-11T08:05:00.001+01:002017-03-11T08:08:39.033+01:00THÉORIE DE L’IMPRÉVISION : DE SA RÉCEPTION PAR LE CODE CIVIL À SON INCIDENCE EN MATIÈRE D’INGÉNIERIE CONTRACTUELLE.<div style="text-align: justify;">
<h2>
THÉORIE DE L’IMPRÉVISION : DE SA RÉCEPTION PAR LE CODE CIVIL À SON INCIDENCE EN MATIÈRE D’INGÉNIERIE CONTRACTUELLE. </h2>
</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Un article à lire ici : </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
THÉORIE DE L’IMPRÉVISION : <a href="http://www.village-justice.com/articles/Theorie-imprevision-reception-par-Code-civil-son-incidence-matiere-ingenierie,24463.html" target="_blank">DE SA RÉCEPTION PAR LE CODE CIVIL À SON INCIDENCE EN MATIÈRE D’INGÉNIERIE CONTRACTUELLE</a>.</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Extrait :</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
"Le professeur Bruno Oppetit définissait l’évènement imprévisible comme celui que l’on ne pouvait raisonnablement demander aux parties de prendre en compte au moment où elles ont conclu leur contrat. Cette définition semble concorder avec celle retenue par les juridictions civiles concernant la force majeure, dont l’imprévisibilité est une condition classique.</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Pour que la force majeure puisse être mobilisée, les juges requièrent généralement que l’évènement dont se prévaut le débiteur ait été « normalement » ou « raisonnablement » imprévisible lors de la conclusion du contrat, bien que certains arrêts (minoritaires) semblent demander que l’évènement en question ait été « totalement » imprévisible. Cette dernière exigence semble pourtant excessivement restrictive si ce n’est déconnectée de la réalité car, comme le soulignait le professeur André Tunc à propos de la circulation routière : « rien n’est totalement imprévisible », les risques sont partout avec un certain pourcentage de chance de réalisation.</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Au regard de la jurisprudence relative aux clauses de hardship et à la force majeure, le juge, pour apprécier le caractère imprévisible d’un évènement, devra donc mener une analyse in abstracto par référence à ce qu’un professionnel « raisonnablement prudent » placé dans la même situation aurait pu prévoir lors de la conclusion du contrat."</div>
Unknownnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3392316204116667597.post-20539494409604017682017-03-11T07:33:00.001+01:002017-03-11T07:33:42.387+01:00Réforme du droit des contrats : consécration d’une obligation générale d’information précontractuelle<div style="text-align: justify;">
Réforme du droit des contrats : consécration d’une obligation générale d’information précontractuelle </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Un article à lire ici : <a href="http://www.lexplicite.fr/reforme-droit-contrats-information-precontractuelle/" target="_blank">Réforme du droit des contrats : consécration d’une obligation générale d’information précontractuelle</a>.</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Extrait : </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
"Avant l’ordonnance n°2016-131 du 10 février 2016, différents textes spécifiques organisaient des obligations particulières d’information en matière environnementale, notamment en cas de mutation des biens.</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Toutefois, aucun texte ne prévoyait expressément une obligation générale d’information à la charge des parties. Désormais, le nouvel article 1112-1 du Code civil, qui est entré en vigueur le 1er octobre 2016, consacre un tel devoir général précontractuel d’information d’ordre public, même si des obligations particulières d’information demeurent.</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Rappel des règles applicables avant l’ordonnance du 10 février 2016</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
La loi dite ALUR du 24 mars 2014 a introduit l’obligation pour le vendeur ou le bailleur, dans le cadre de la vente ou de la location d’un terrain situé en « secteur d’information sur les sols » (SIS), d’informer par écrit l’acquéreur ou le locataire de cette situation1. Les SIS, créés par cette même loi, sont élaborés par l’Etat afin d’identifier les terrains où la connaissance de la pollution des sols justifie la réalisation d’études des sols et de mesures de gestion de la pollution pour préserver la sécurité, la santé ou la salubrité publiques et l’environnement. Ces secteurs figurent dans les documents graphiques annexés aux plans locaux d’urbanisme.</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Toutefois, à ce jour, aucun SIS n’a été élaboré. Le non-respect de l’obligation pesant sur le vendeur ou le bailleur est sanctionné. Ainsi, si une pollution rendant le terrain impropre à la destination précisée dans le contrat est découverte, l’acquéreur ou le locataire peut demander, dans un délai de deux ans à compter de cette découverte, soit la résolution du contrat, soit la restitution d’une partie du prix de vente ou la réduction du loyer, soit la réhabilitation du terrain lorsque le coût de cette réhabilitation ne paraît pas disproportionné par rapport au prix de vente."</div>
Unknownnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3392316204116667597.post-64480587947215210102017-03-11T07:21:00.001+01:002017-03-11T07:21:08.385+01:00L’imprévision en droit immobilier après la réforme du droit des obligations<h2 style="text-align: justify;">
L’imprévision en droit immobilier après la réforme du droit des obligations</h2>
<div style="text-align: justify;">
Un article à lire ici : <a href="http://www.lexplicite.fr/limprevision-droit-immobilier-reforme-droit-obligations/" target="_blank">L’imprévision en droit immobilier après la réforme du droit des obligations</a></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Extrait :</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div>
<div style="text-align: justify;">
"Depuis le <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Canal_de_Craponne_(arr%C3%AAt)" target="_blank">célèbre arrêt « Canal de Craponne »</a> (Cass. civ., 6 mars 1876, DP 76. 1. 193), le juge judiciaire s’était toujours refusé, avec constance, à réécrire un contrat ou à prononcer sa résiliation en raison de la survenance de circonstances extérieures.</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
C’est ce refus que le <a href="https://www.legifrance.gouv.fr/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070721&idArticle=LEGIARTI000006436705" target="_blank">nouvel article 1195 du Code civil</a> possède en ligne de mire ; cet article est issu de l’ordonnance n°2016-131 du 10 février 2016 portant réforme du droit des contrats, du régime général et de la preuve des obligations, dont les dispositions sont entrées en vigueur le 1er octobre 2016. L’article 1195 bat ce refus en brèche (ou tout au moins tente de le faire – cf. infra) en instaurant le mécanisme de la <a href="http://www.reforme-droit-des-contrats.fr/2016/06/reforme-du-droit-des-contrats-du-regime.html" target="_blank">révision pour imprévision</a> en droit civil français.</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Pour déclencher ce dispositif, doit être intervenu « un changement de circonstances imprévisible lors de la conclusion du contrat », qui en « rend l’exécution excessivement onéreuse pour une partie qui n’avait pas accepté d’en assumer le risque » (C. civ., art. 1195 al. 1).</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
A priori, les contrats immobiliers constituent un terrain idéal pour le jeu de l’imprévision : ils sont souvent à exécution successive, s’échelonnent sur une longue période et de nombreuses circonstances imprévues, tant de nature économique que matérielle, sont susceptibles de survenir durant leur exécution.</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Conscient de ces spécificités, le législateur a créé nombre de régimes spéciaux, souvent d’ordre public, propres aux contrats immobiliers. C’est ainsi que dans le secteur protégé de la vente d’immeuble à construire, le prix doit être impérativement déterminé (et non pas déterminable) et qu’il est seulement révisable dans des conditions très étroitement définies sans que le jeu de la révision puisse être adapté (art. L. 261-11-1 et R. 261-15 C. constr. hab.). La jurisprudence est venue, pour sa part, préciser que les risques pèsent sur le vendeur en l’état futur d’achèvement, en dépit de l’accession immédiate des ouvrages au profit de l’acquéreur (solution retenue notamment à propos de l’effondrement de l’immeuble en construction à la suite de la manifestation d’un vice du sol – V. Cass. civ. 3e, 11 oct. 2000, Bull. civ., III n°163)."</div>
</div>
Unknownnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3392316204116667597.post-88305800957850022512017-03-04T14:01:00.003+01:002017-03-04T14:01:58.720+01:00La triple incohérence de l’article 1161 du Code civil appliqué au droit des sociétés<div style="text-align: justify;">
La triple incohérence de l’article 1161 du Code civil appliqué au droit des sociétés </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Un article sur la représentation en droit des sociétés.</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
A lire ici : <a href="http://www.lexplicite.fr/la-triple-incoherence-de-larticle-1161-du-code-civil-applique-au-droit-des-societes/" target="_blank">La triple incohérence de l’article 1161 du Code civil appliqué au droit des sociétés</a>.</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Extrait :</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
"Le rapport au président accompagnant l’ordonnance n°2016-131 du 10 février 2016 présentait la sécurité juridique comme le principal objectif poursuivi par cette dernière. Or, les nouvelles dispositions qu’elle introduit dans le Code civil concernant les règles de représentation rendent peu lisible le régime applicable en ce domaine aux personnes morales.</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
C’est tout particulièrement le cas du nouvel article 1161 du Code civil prévoyant qu’« un représentant ne peut agir pour le compte de deux parties au contrat ni contracter pour son nom propre avec le représenté. En ces cas, l’acte accompli est nul à moins que la loi ne l’autorise ou que le représenté ne l’ait autorisé ou ratifié ».</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Les conventions visées par cet article étant fréquentes (notamment, conventions conclues entre sociétés appartenant à un même groupe ou conventions passées entre une société et ses représentants légaux), le praticien du droit des sociétés peut légitimement s’inquiéter de savoir si les dispositions de l’article 1161 leur seront applicables."</div>
Unknownnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3392316204116667597.post-15908482074622653282017-03-04T09:28:00.001+01:002017-03-04T09:28:46.549+01:00Baux commerciaux et obligations essentielles : le contrôle du juge renforcéBaux commerciaux et obligations essentielles : le contrôle du juge renforcé par nouvel article 1170 du Code civil, issu de l’ordonnance n°2016-131 du 10 février 2016.<div>
<br /></div>
<div>
Un article à lire ici :</div>
<div>
<a href="http://www.lexplicite.fr/baux-commerciaux-obligations-essentielles-controle-juge-renforce/" target="_blank"><br /></a></div>
<div>
<a href="http://www.lexplicite.fr/baux-commerciaux-obligations-essentielles-controle-juge-renforce/" target="_blank">Baux commerciaux et obligations essentielles : le contrôle du juge renforcé</a></div>
<div>
<br /></div>
<div>
Extrait :</div>
<div>
<br /></div>
<div>
<div>
"Le nouvel article 1170 du Code civil, issu de l’ordonnance n°2016-131 du 10 février 2016, prévoit que « toute clause qui prive de sa substance l’obligation essentielle du débiteur » doit être réputée non écrite. Les baux commerciaux comportent fréquemment des clauses vidant de leur substance certaines obligations essentielles du bailleur. La vigilance quant à la rédaction des clauses du bail commercial s’impose.</div>
<div>
<br /></div>
<div>
<br /></div>
<div>
La volonté du législateur est claire : aller au-delà de la consécration de la célèbre jurisprudence Chronopost (Cass. com., 22 oct. 1996, n°93-18632 : Bull. civ. IV n°261) qui a réputé non écrite une clause limitative de responsabilité et éradiquer du bail commercial les clauses permettant au bailleur de s’affranchir de ses obligations essentielles.</div>
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L’application de l’article 1170 du Code civil est promise à un certain succès, compte tenu des termes généraux employés, bien que demeure la question de déterminer « l’obligation essentielle du débiteur », ou plus exactement les obligations essentielles du bailleur dont ce dernier cherche à se décharger généralement lors de la négociation des clauses du bail."</div>
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Unknownnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3392316204116667597.post-37908955034389903582017-02-25T17:49:00.001+01:002017-02-25T17:51:14.905+01:00"L'évolution du droit des obligations" entraîne un revirement de jurisprudence<div style="text-align: justify;">
La Cour de Cassation juge expressément que "l’évolution du droit des obligations, résultant de l’ordonnance n° 2016-131 du 10 février 2016, conduit à apprécier différemment l’objectif poursuivi par les dispositions relatives aux prescriptions formelles que doit respecter le mandat, lesquelles visent la seule protection du mandant dans ses rapports avec le mandataire", et opère en conséquence un revirement de jurisprudence.</div>
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Voyez la décision rendue, la note explicative et le rapport ici : <a href="http://www.bdidu.fr/archive/2017/02/27/le-locataire-ne-peut-invoquer-la-nullite-du-mandat-de-l-agent-immmobilier.html#more" target="_blank"><span style="color: blue;"><b><i>Le locataire ne peut invoquer la nullité du mandat de l'agent immobilier</i></b></span></a>.</div>
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